Wednesday, October 20, 2021

Opération Shambhala - Des S.S. au pays des dalaï-lamas Gilles Van grasdorff pdf download

Opération Shambhala - Des S.S. au pays des dalaï-lamas

Livres, Gilles Van grasdorff


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Livres Couvertures de Opération Shambhala - Des S.S. au pays des dalaï-lamas

de Gilles Van grasdorff

4.5 étoiles sur 5 (4 Commentaires client)

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Le Tibet a toujours fasciné l'Allemagne nazie. Convaincus qu'Adolf Hitler se cacherait dans le royaume mythique de Shambhala, certains néonazis ont même pensé qu'il y conduirait la planète vers le IVe Reich.1938. SS, ils appartiennent à l'Ahnenerbe, l'institut chargé de trouver ou d'inventer les fondements de l'idéologie nazie.Ils sont alpinistes, comme Heinrich Harrer, vainqueur de l'Eiger, aventuriers ou scientifiques comme Bruno Beger, chargé de démontrer l'existence des vestiges aryens parmi les populations tibétaines.Pour Himmler, patron de la SS et de l'Ahnenerbe, ils sont les nouveaux héros de l'aryanisme germain.Gilles Van Grasdorff révèle le rôle des occultistes nazis de la Société de Thulé ; il raconte les expérimentations sur les Tibétains et Tibétaines, poursuivies à Dachau et à Auschwitz. Il dévoile les liens du SS Heinrich Harrer et de l'actuel dalaï-lama et s'interroge : quelle fut l'influence de Harrer sur le système et les méthodes d'éducation et sur les adoptions des enfants tibétains de l'exil ?Vous trouverez ci-dessous quelques critiques les plus utiles sur Opération Shambhala - Des S.S. au pays des dalaï-lamas. Vous pouvez considérer cela avant de décider d'acheter / lire ce livre.

C'est un bouquin particulier, troublant que vous êtes invités à lire. Encore une fois, pour certains, l'idée selon laquelle il existerait une connivence secrète entre le nazisme et le bouddhisme tibétain risque d'être renforcée. Pourtant, dans le prologue p 13, l'auteur précise: "Ni le dalaï-lama, ni sa famille, ne peuvent donc être accusés d'une quelconque complaisance à l'égard des cinq nazis qui arrivent à Lhassa au mois de janvier 1939..." Ouf! Remarquez, en faisant un petit calcul, Tenzin Gyatso n'avait pas 5 ans.Reste donc l'amitié avec Heinrich Harrer, adhérent au NSDAP à 20 ans, fasciné semble t-il par la mystique nazie. Longtemps on a cru que ce sombre aspect de cette idéologie meurtrière relevait des élucubrations d'auteurs un peu "perchés" comme Trevor Ravenscroft (La lance du destin) ou Jean Prieur (Hitler et la guerre luciférienne). Plus récemment pourtant, Sidney Kirkpatrick, dans "Les reliques sacrées d'Hitler", a exposé selon les méthodes rationnelles de la recherche historique, les côtés délirants et sectaires du fanatisme nazi et donné crédit de fait aux auteurs plus anciens qui avaient écrit sur le sujet. Harrer donc est nazi dès le début des années 30. Il a prêté serment au Führer...Prisonnier pendant la guerre, il s'évade en avril 44 et arrive à Lhassa en 46! Le dalaï-lama a 11 ans. Progressivement, il va se faire accepter par la famille du dalaï-lama jusqu'à devenir un ami de celui-ci. Conclusion? Pour moi, aucune. Je doute que le dalaï-lama ait pu comprendre la réalité du nazisme à l'âge qu'il avait quand la guerre a eu lieu. D'autant plus que Harrer a du éviter de tout lui raconter quand leur amitié s'est forgée au fil des ans. Dans les années 60, après l'exil, Harrer a aidé à organiser l'adoption d'enfants tibétains faussement orphelins par des suisses dans le but de former une élite capable de diriger le Tibet libre lors du retour au pays. Opération plantage intégral. On peut discuter d'un tas de trucs mais dans l'urgence d'un exil contraint et dans des conditions sanitaires très difficiles, je ne pense pas que je me permettrai de juger les intentions et les actes du dalaï-lama concernant cette affaire. Nous cherchons nous aussi à former des élites dans des grandes écoles, non?Ce livre est tellement troublant, riche d'informations et confus. Il reflète je crois l'ambivalence des sentiments de l'auteur à l'égard du dalaï-lama: de l'admiration, de la fascination, mais aussi la crainte d'être dupé et il découvre un faisceau d'indices gênants (la swastika commune aux nazis et aux bouddhistes, le Tantra de Kalachakra, la décadence morale de la société tibétaine dans les années 50...)qui l'indispose. Là où je ne partage pas l'avis de l'auteur, c'est quand il nous ramène Rudolf Steiner dans la danse, comme si ce dernier avait eu des accointances avec l'idéologie nazie. Il nous en fait un homme à femmes, ce dont je doute même s'il a vécu c'est sûr. Le fondateur de l'anthroposophie, chrétien convaincu, est mort en 1925!A bouquin confus, commentaire décousu. Mais il faut le lire parce que malgré toutes les critiques que je pourrais émettre, il reste très informatif. Bravo encore une fois à l'auteur parce qu'après nous avoir fait rêver, il nous fait réfléchir.


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